Le Brésil, terre d'avenir, de Stefan Zweig
Titre: Le Brésil, terre d'avenir
Auteur: Stefan Zweig
Année: 1981
Edition: Le livre de Poche
Nombre de pages: 280
Quatrième de couverture:
En 1940, fuyant le désastre de l'Europe, Stefan Zweig s'installe au Brésil, découvert quelques années plus tôt. Très vite, ce pays va le fasciner. Par sa beauté et son immensité, certes; mais aussi et surtout par la vitalité avec laquelle il lui semble inventer une nouvelle forme de civilisation. Indiens, Portugais, descendants des conquérants, Noirs issus de l'esclavage, Italiens ou Allemands d'immigration récentes, l'écrivain autrichien s'enthousiasme de voir comment des citoyens de toutes races, de toutes confessions, loin de s'ancrer dans l'identitarisme, entreprennent ensemble de construire un pays neuf.
Mon avis:
Cette courte synthèse sur le Brésil, m'a plu. L'écriture est assez simple, quand il parle de l'histoire du pays, tout est compréhensible. Cependant, étant en Licence de Portugais, j'ai appris l'histoire du Brésil, et il y a dans ce livre des incohérences, des faits historiques enjolivées... De plus, les mots en portugais on été mal traduit, souvent remplacé par de l'espagnol et cela m'a dérangé. De plus, Stefan Zweig rapporte ici que les choses positive qu'il voit dans ce pays, mais le Brésil est beaucoup plus complexe que cela.
Ce qui m'a plu, ce sont également les "prédictions" que fait Sweig, car s'étant suicidé en 1942, le Brésil a beaucoup évoluer depuis. Il prédit notamment la disparition des favelas, chose qui n'a pas disparu, au contraire. Il fait une description des brésilien très flatteuse, je dirais même trop, car selon lui, tout le monde est gentil, il n'y a pas de violence... Je pense que ce documentaire est loin d'être objectif, mais il est tout de même intéressant pour les personnes désireuse d'en savoir plus sur le Brésil, sur son histoire et sur ce qui à fait sa force.
Citation:
- Quand on décrit le présent du Brésil, c'est déjà, sans le savoir, du passé qu'on parle. C'est seulement en ayant déjà son avenir en vue qu'on lui donne son véritable sens.
Ma note: 6/10